Robert Harrison : « La forêt est lieu du pêché mais aussi de la rédemption »
Publié dans le magazine Books n° 99, juillet/août 2019. Par Ross Andersen.
À lire L’Épopée de Gilgamesh, la Bible hébraïque ou, plus près de nous, La Divine Comédie et le Discours de la méthode, la forêt incarne des forces du mal qu’il faut combattre. Cela explique-t-il notre passion pour la déforestation ?

Robert Harrison : « Nous commençons à réaliser que les forêts ne sont pas éternelles. Elles sont devenues aussi mortelles que nous. Leur vie ou leur mort dépendent désormais essentiellement de nous. »