« À l’enterrement de sa femme Églantine, mon ami Saturnin, ethnologue de son état, compagnon de Lévi-Strauss, me fit cette confidence :“Il m’a fallu passer dix ans chez les Yanomamis pour comprendre la nature de ma passion pour Églantine. C’était une femme wahari. Toutes les fragrances de la forêt après la pluie. Le principe même de la fertilité. J’ai suivi son parfum toute ma vie. Aujourd’hui, conclut-il, je suis sans odeur. Le monde ne sent plus rien.” » D. P. Wahari désigne dans la langue yanomami le souffle de vie humide qui émane de la surface du sol en forêt. La bonne réponse a été trouvée par Jean-Luc Chesneau.
Aidez-nous à trouver le prochain mot manquant:
Existe-t-il dans une langue un mot pour désigner la peur de ne pas avoir son portable avec soi ?
Écrivez à courrier@books.fr
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok