« Ce n’est un secret pour personne, Carlos Zanón est l’une des meilleures choses qui soient arrivées dernièrement à la littérature espagnole », se réjouit le journaliste Carlos Prieto dans le quotidien en ligne
El Confidencial. Après trois romans noirs,
Soudain trop tard,
N’appelle pas à la maison et
J’ai été Johnny Thunders (traduits chez Asphalte), le poète et romancier barcelonais s’aventure au-delà des frontières du genre avec
Taxi, « son livre le plus ambitieux et le plus touchant à ce jour », de l’avis de l’écrivain Carlos Pardo dans
El País.
« Il faut qu’on parle », dit un matin Lola à son mari, Sandino, qui multiplie les infidélités. Sandino préfère éviter cette conversation qui risque de mettre fin à leur relation. Durant sept jours et sept nuits, il va sillonner Barcelone au volant de son taxi, charger des clients et se fourrer dans de sales draps.
Mais, estime le critique Domingo Ródenas dans
El Periódico de Catalunya, l’intérêt de
Taxi réside moins dans l’intrigue bien...