Migrations
Les travailleurs migrants anonymes du Golfe
En lisant le livre de Deepak Unnikrishnan, Temporary People (« Les Temporaires »), je me suis souvenu de notre voisin, Chandran Mama. C’est cet « oncle Chandran » qui m’a fait entendre pour la première fois l’accent malayali, car je vivais à Bangalore, dans l’État du Karnataka, dans une maisonnée où l’on ne parlait que le kannada (1).…
Comment peut-on être africain en Chine ?
Joseph Nwaosu, un exportateur nigérian, ne s’est pas encore acclimaté à l’humidité hivernale de Canton. Sur une chemise boutonnée jusqu’au col, il enfile d’ordinaire un épais pull-over marron à col roulé, et une parka beige fatiguée ; si nécessaire, il porte un bonnet de laine. Ces couches de vêtements l’aident à supporter son trajet quotidien. Depuis…
Comment peut-on être africain en Chine ?
Joseph Nwaosu, un exportateur nigérian, ne s’est pas encore acclimaté à l’humidité hivernale de Canton. Sur une chemise boutonnée jusqu’au col, il enfile d’ordinaire un épais pull-over marron à col roulé, et une parka beige fatiguée ; si nécessaire, il porte un bonnet de laine. Ces couches de vêtements l’aident à supporter son trajet quotidien. Depuis…
Les travailleurs migrants anonymes du Golfe
En lisant le livre de Deepak Unnikrishnan, Temporary People (« Les Temporaires »), je me suis souvenu de notre voisin, Chandran Mama. C’est cet « oncle Chandran » qui m’a fait entendre pour la première fois l’accent malayali, car je vivais à Bangalore, dans l’État du Karnataka, dans une maisonnée où l’on ne parlait que le kannada (1).…