Dossier
Ce que leur richesse nous rapporte
Publié dans le magazine Books n° 41, mars 2013. Par Israel Rosenfield.
Il n’y a que cinq types de récepteurs sur la langue mais un bon millier dans le nez. Si la combinaison des deux donne naissance aux saveurs, l’acteur principal est le cerveau, qui exploite les informations venues du nez en les combinant avec celles venues de la langue, mais aussi des autres sens, de la mémoire et de la pensée. Un véritable processus de création.
Neurogastronomie de De la langue au cerveau : les secrets du goût, Columbia University Press