« Mon ami Akira nous classait par mode de lecture : A ses yeux, Anatole en était encore au stade du kai-doku, du déchiffrement. Françoise lectrice attentive, pratiquait le sei-doku. Anna que rien ne perturbait quand elle était penchée sur un livre, pratiquant le moku-doku, la lecture silencieuse. Moi, qui lisais à voix haute : rou-doku, bien sûr. Mais aux yeux d’Akira, l’ami Germain, notre bibliophile, avec ses éditions numérotées, accumulés tout au long de sa vie et qui ne quittaient jamais les rayons où leurs reliures se pavanaient : un vulgaire "tsun-doku". »
Daniel PennacSundoku vient du verbe tsumu, qui veut dire « entasser », tandis que doku signifie « lecture ». Il désigne celui qui achète des livres qui s’entassent parce qu’il ne les lit pas.
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